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Par BigBoom le 26 Février 2014 à 19:48
Herni Dès : C'est le printemps
Anne Sylvestre : C'est le printemps, vraiment!
Michel Fugain: Le printemps
Charles Trenet : Bonjour, jolie madame
Charles Trenet : Bonjour, y a d'la joie
Léo Ferré : C'est le printemps
Alain Souchon : Les saisons
Jacques Brel : Au printemps
Edith Piaf: Enfin le printemps
5 commentaires -
Par BigBoom le 25 Février 2014 à 19:52
Je vous propose une galerie de tableaux (45) sur le thème du printemps exécutés par les grands peintres.
En cliquant sur chaque tableau, vous pourrez les voir dans un plus grand format.
Vous trouverez l'intégralité des tableaux dans ce document.
10 commentaires -
Par BigBoom le 23 Février 2014 à 18:10
Définition du Haïku:
Le Haïku est un type de poème japonais court très codifié, c'est le poète Masaoka Shiki (1867 - 1902) qui l'a baptisé ainsi. Cependant c'est à Basho Matsuo ( 1644 - 1694) qu'en revient la paternité.
Il est issu de formes souvent chantées et un peu plus longue (les Tanka, de métrique 5/7/5/7/7) qui étaient enchaînés pour former des Renga (chaînes de poèmes enchaînés, chaque auteur composant un Tanka).
Le Haïku dérive ainsi de la première partie (en 5/7/5) du Tanka, dont le but est de rendre l'impermanence des choses avec le maximum de brièveté. En plus de la contrainte métrique de 17 syllabes, le Haïku doit comporter une césure (kireji).
2 formes de Haïku existent:
- Le Haïku de saison, qui doit comporter un kigo (mot de saison) évoquant celle-ci, de préférence indirectement.
- Le Haïku de circonstance (muki-Haïku ou Haïku libre).
L’important étant surtout d’exprimer un ressenti ancré dans l'observation de la réalité; les métaphores peuvent être utilisées, mais elles ne doivent pas constituer la ‘base’ duHaïku. Il ne faut pas donner au Haïku le caractère d’une pensée, ce qui est à son opposé : Un Haïku n’est pas un aphorisme zen, c’est plutôt l’application à la poésie du "lâcher-prise" : il doit laisser sentir le détachement de son auteur.
C’est un instantané, qui peut être empreint d’humour, mais toujours de légèreté(karumi).Le Haïku peut inciter à la réflexion, mais l’écho philosophique ne doit être présent qu'en arrière plan. Le langage utilisé est simple, il doit être celui du quotidien et les effets trop littéraires sont à bannir.
À son origine, le Haïku s’écrivait indifféremment sur une ou sur trois lignes verticales de caractères (kanjis) comportant 17 mores (un découpage des sons plus fin que les syllabes) : ce que les poètes occidentaux ont transposé au XIXème siècle (en assimilant ceux-ci à nos syllabes, ce n’est qu’une équivalence approximative) et en privilégiant l’écriture sur 3 lignes.Les haïkus ne sont connus en Occident que depuis le tout début du xxe siècle. Les écrivains occidentaux ont alors tenté de s'inspirer de cette forme de poésie brève.
La personne écrivant des haïkus est appelé "haijin", ou parfois également « haïdjin » ou « haïkiste ».
Ce document contient une sélection de 45 haïku sur le printemps traduits du japonais. Étant des traductions, la plupart ne respecte pas la métrique 5-7-5. Certains sont proposés volontairement en japonais (pour que les élèves s'essaient à lire cette langue) puis traduits en français - page 4.
2 commentaires -
Par BigBoom le 23 Février 2014 à 09:55
Cascade de poésies sur le printemps
Il arrive à grands pas ...
Le printemps a inspiré de nombreux poètes, vous trouverez ici un mini recueil sur ce thème... Voici quelques noms représentés: Maurice Carême, René Guy-Cadou, Émile Verhaeren, Charles d'Orléans, Théophile Gautier, Victor Hugo, Paul Bergèse, Michel Beau, Claude Roy, Jacques Prévert, Lucie Delarue-Mardrus, Paul Éluard, Pierre Menanteau, Gérard de Nerval, Pierre Reverdy, Paul Géraldy, René-François Sully Prudhomme, Paul Verlaine...
Bonne lecture!
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